Resident Evil Death Zone
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Empathique Ennemie
 
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 Département M.A.D

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Kalashnik Er Gong
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Kalashnik Er Gong


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MessageSujet: Département M.A.D   Département M.A.D Icon_minitimeLun 19 Mar - 16:13

Beaucoup de changements c'était produit dernièrement, et le plus inquiétant en ce moment était ce département. Er Gong avait été muté dans cette petite ville pour quelque chose qui pouvait être interprété comme de l'insubordination, alors elle ne c'était pas attendue à recevoir un nouveau poste qui lui ferait prendre du galon, mais il semblait que la seule occupation qu'elle serait susceptible d'avoir dans ce désert était de faire la circulation. La ville était quasiment vide, et la seule personne vivante qu'elle avait croisé en traversant les rues était un enfant de pas plus de 8 ans qui dessiné sur les trottoirs à la craie. Pas de grande soeur avec lui, pas de baby-siter. Elle avait pensé au début que ce devait être un quartier calme, mais elle avait découvert par la suite qu'il n'y avait pas plus de monde ailleurs. Pourtant la ville était habité, mais elle supposait que les habitants étaient soient enfermés chez eux, soit en train de travailler dans des bars, ou quoi que ce soit d'autres.

Er Gong avait suivit les instructions qu'on lui avait donnés pour trouver son département, ce qui l'avait mené à des rues encore plus étroites et sombres, où les bâtiments étaient principalement des restaurants bas de gamme et des magasins minuscules. Ça lui avait donné l'occasion de voir un peu de monde, mais il n'y avait pas plus de 2 ou 3 consommateurs par bâtiment. Quand Kalashnik avait enfin trouvé le commissariat de police de la ville, elle avait été plus que surprise par la taille ridicule, par rapport à ceux qu'elle avait pu voir à Séoul, qui étaient plus grands encore que les hôtels de villes. Celui-ci en l'occurence pouvait être prit pour une résidence, non seulement à cause de ça mais aussi parce qu'il n'y avait absoluent rien, d'un point de vue extérieur, qui laissait penser que c'était une zone occupé par la police.

Cependant cet aspect restait une apparence extérieur, car une fois à l'intérieur il ressemblait à tout autre commissariat. Er Gong fut soulagé en voyant enfin quelque chose qui lui été familier, même si le style vieille ville était de très loin ressemblant au bâtiment moderne qu'elle avait connu. La première chose qu'elle remarqua était qu'il y'avait un bureau qui avait l'air occupé, au vu de toute la paperasserie qui débordait des tiroirs, mais il n'y avait personne. aucune secrétaires, et d'ailleurs vu la petitesse de l'endroit il ne devait n'y en avoir qu'une. Er Gong s'approcha alors du bureau et le contourna pour jeter un oeil aux papiers. Il y avait une lettre de son ancien supérieur, qui prévenait les policiers de ce service de son arrivé. La lettre était ouverte, donc quelqu'un l'avait lu, mais quelque chose disait à Er Gong que la secrétaire faisait mal son travail ici, et que peut-être ces nouveaux collègues seraient surpris de la voir.

Er Gong tendit la main pour prendre la lettre mais un appel l'interrompit. Quelqu'un criait dans la pièce d'à côté, alors elle s'y rendit pour découvrir qu'il s'agissait de la salle des gardes-à-vue. Il n'y avait que 4 cellules à peine, mais déjà un occupant, qui s'acharnait sur ses barreaux et s'y laissa tomber mollement en voyant Er Gong.

« Vous êtes flic ? Vous pouvez dire à votre collègue que j'ai retenu la leçon, j'ai passé ma journée ici j'ai envie de pisser ! »

Er Gong pointa du doigt les toilettes qu'il y'avait dans la cellule pour signaler à l'individu que s'il avait une envie vraiment pressante, il n'y avait pas de raison de se retenir. L'homme se tourna vers la direction indiqué et Er Gong n'attendit pas de voir ce qu'il faisait pour se pencher sur le bureau minuscule à côté de l'une des cellules. Contrairement à l'autre, il était très organisé et Kalashnik du chercher dans les tiroirs pour trouver les documents sur l'occupant de la cellule. Apparemment il s'appelait Reza et il était en garde-à-vue pour ivresse : il avait pété les plombs à une soirée chez un de ces amies en affirmant qu'il était possédé et la police avait du intervenir pour éviter qu'il ne fasse quelque chose qu'il pourrait regretter.

« Ecoutez ma copine va vraiment m'en vouloir si je reste plus longtemps, elle va penser que je suis un dealer ou un truc dans le genre, mais je suis pas un criminel... »

Er Gong reporta son attention sur l'homme qui lui parlait. A la lecture du dossier, on aurait pu s'attendre à un type de la quarantaine qui avait ruiné sa vie, mais il ne devait en fait pas avoir plus de 22 ans. S'il commençait déjà à passer ses nuits dans un commissariat de police à crier pour qu'on le fasse sortir, sa vie semblait déjà toute tracée. Er Gong rangea le dossier dans le tiroir et le referma, en constatant au passage qu'il y'avait une serrure, mais que le policier qui était sensé être chargé de s'occuper de ça n'avait pas prit la peine de vérouiller un tiroir avec des documents confidentiels.

« Ta copine sait que tu es là ? »

Reza avait accepté l'idée de soulager ses besoins naturels dans les toilettes d'une cellule de garde-à-vue, et il ne se retourna pas à la question d'Er Gong. Elle entendit le bruit de la fermeture de son pantalon alors se tourna pour lui laisser un peu de pudeur. Rapidement, un son significatif résonna et Er Gong sourit en pensant que ça lui rappelait un peu son ancienne coéquipière, qui pissait toujours la porte ouverte et dont on connaissait le moindre fait et geste tellement elle manquait de discrétion.

« Nan l'autre coincée m'a même pas laissé téléphoner... »

A la mention de l'autre policière, Er Gong leva les yeux pour chercher du regard un tableau, qui devrait se trouver quelque part dans le commissariat et sur lequel devait se trouver les photos et les noms des policiers de ce service. Ca lui aurait permit de ne pas confondre la secrétaire avec un autre agent, et d'avoir une longueur d'avance qui donnerait une meilleur impression à ces collèges, mais il n'y en avait pas. Er Gong fit un pas en avant pour sortir chercher dans la salle principal, mais Reza l'interrompit quand il se jeta soudainement sur les barreaux de sa cellule, la faisant sursauter.

« Tenez regardez, c'est elle »

Er Gong comprit qu'il devait parler de sa petite amie, alors elle s'approcha assez de la cellule pour lui prendre la photo des mains, tout en gardant assez de distance pour lui éviter toute tentations inutiles d'attaque. La fille sur la photo la surprit ; elle ne connaissait pas sa nationalité, mais à première vue c'était une parfaite bourgeoise occidental, peut-être Américaine. Elle avait la peau très blanche qui faisait encore plus ressortir ses yeux qui était d'un bleu limpide. Le soleil sur le cliché mettait en valeur ses cheveux très blonds et le tout lui donnait un air sensiblement doux. Er Gong leva les yeux sur Reza et le jaugea. Elle n'avait rien contre les couples inter-raciaux mais jamais elle n'avait penser qu'une Américaine, issu d'un peuple qui craignait autant les arabes, sortirait avec quelqu'un comme Reza. Il était très typé, la peau très foncé et des yeux marrons clairs qui ferait pâlir de jalousie n'importe quel Asiatique de l'Est.

« Vous voulez bien remplir les papiers pour me faire sortir ? »

Er Gong rendit la photo à Reza et s'éloigna de quelques pas. Elle n'était pas sûr de si elle était autorisé à faire quelque chose comme ça : après tout elle venait d'arriver et n'était pas encore tout à fait dans l'exercice de ses fonctions. Elle regarda lors autour et commença seulement à se demander où les autres pouvait être. On l'avait prévenu que le département M.A.D n'était pas très occupé, mais ce vide était tout de même suspect. De plus, il y'avait deux bureaux, et personne à son poste. Er Gong sortit alors de la pièce et prit le premier couloir qu'elle trouva. Elle passa devant les toilettes mais il n'y avait toujours personne, alors elle entra dans les vestiaires. L'odeur soudaine de fumée et de substances dont elle ne préférait pas connaître l'origine la saisit, et la firent ressortir directement. Ce désert commençait vraiment à l'inquiéter quand elle entendit de nouveau Reza criait.

« Faites moi sortir, j'ai largement dépassé la limite de garde-à-vue légal ! »

Er Gong allait le rejoindre pour vérifier, quand le tableau qu'elle cherchait plus tôt l'arrêta. Il était accroché discrètement près du bureau de la secrétaire, et Er Gong fut choqué de n'y voir que deux photos. L'une représentait une femme, avec le visage très rond dont les joues pleines était la caractéristique la plus marquante, et des longs cheveux bruns descendait le long de ces épaules jusqu'à sa poitrine. Pour une policière elle n'en avait pas l'air, son visage inspirait à la tranquillité, ce qui ne collait pas avec l'aura angoissante dont on décrivait souvent les policiers. Quand à la deuxième photo, elle représentait un homme, avec un air beaucoup moins sympathique que la première. Il n'avait pas l'air spécialement méchant, mais ses cheveux teint en blonds donnait toujours une impression de voyou, surtout à cette époque où 99% des Asiatiques avaient des cheveux noirs corbeaux. Il ne devait pas passer inaperçue dans les rues, surtout en Corée et surtout dans une si petite ville. Quand Er Gong pencha la tête, elle remarqua qu'il y'avait des traces à côté de la photo de la fille : apparemment une photo avait récemment été arraché. Peut-être que c'était la place que prenait maintenant Er Gong.
Encore une fois elle fut interrompit par Reza, qui, au vu des sons qu'elle entendait, c'était mit dans l'idée que donner des coups dans ces barreaux allait le faire partir plus vite.
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Huang Uan
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Huang Uan


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MessageSujet: Re: Département M.A.D   Département M.A.D Icon_minitimeLun 19 Mar - 17:52

Uan ne pouvait pas s'en empêcher mais de toute façon ça faisait partit des addictions qu'elle n'essayait plus vraiment de combattre depuis le temps. Quand elle était arrivé chez les flics pourtant elle en avait entendue des discours sur toutes les habitudes qu'elle avait et dont elle devait se séparer au plus vite. Parmi elles et la plus importante, c'était celle de faire la maligne quand elle arrêtait un suspect. Au début de sa carrière elle n'était qu'une sous-fifre et elle avait toujours quelqu'un derrière le dos pour surveiller ce qu'elle faisait, et quand elle n'était qu'en présence de ses équipiers aussi bas gradés qu'elle, il y en avait toujours un pour la dénoncer pour violence abusive. C'était plus fort qu'elle, quand elle arrivait en face d'un homme potentiellement dangereux, elle sortait son flingue pour crier la phrase clichée et toute nouvelle pour elle « Tu lâches ça connard ! » Elle se retrouvait bien sur assez rarement en face d'un homme armé d'un révolver, mais plus souvent avec une batte, ou une arme improvisée comme une bouteille de Téquila ou un barreau de lit. L’essentiel était qu'elle sortait quand même son Beretta alors que ses équipiers se contentaient de s’avancer lentement vers le suspect en essayant de le calmer, et la plupart du temps quand elle arrivait et sortait son arme en criant ça avait l'effet inverse de celui désiré et ça faisait stresser le suspect. Ça lui avait mit du temps mais finalement elle avait réussit à apprendre à maitriser cette pulsion et c'était résigné à se servir de la batte. Mais le résultat n'était pas vraiment mieux en général. Ce qu'elle adorait c'était arriver habillée en Collégienne ou en Cosplay avec des grosses lunettes de Ricaine, et maitriser le suspect à coups de pieds ou de batte tout en mâchant calmement un Chewing-Gum. C'était la classe absolue pour elle, mais ça lui avait valu de nombreuses mises-à-pieds. Son but quand elle était arrivé dans la Police était d'agir dans la Rue, pas de jouer les Sherlock Holmes dans un bureau et de s'endormir devant de la paperasse, alors quand on lui disait qu'avec un tel comportement répétitif elle n'aurait jamais de promotion, ça ne l'affectait pas beaucoup. Et puis heureusement pour elle elle était Femme-Flic, alors une fois sur deux ses collègues ne la dénonçaient pas, jugeant que le suspect n'avait pas du énormément souffrir de ses coups et d'ailleurs Uan n'y avait jamais mis toute sa force, son but n'était pas de les passer à tabac. Sa carrière aurait surement encore plus mal tournée qu'elle ne l'avait fait si ça n'avait pas été le cas. Heureusement pour elle un évènement encore plus terrible était finalement arrivé et malgré son désir depuis toujours d’être dans la rue, elle avait été transféré dans le Département des Affaires Diverses, renommé par elle-même après son arrivé le Département des Piquets, car il y avait en gros autant d'action et de frisson que quand elle était à l'École de Police et qu'elle devait faire le piquet devant une Ambassade. Après ça elle n'avait vu aucun mal à monter en grade et à devenir l'inspecteur du Département puisque de toute façon on n'y faisait rien et qu'en plus elle ne se sentait pas si forte à être la patronne puisqu'il n'y avait la plupart du temps qu'une ou deux personnes pour suivre ses ordres, et dernièrement il n'y avait même personne. Aussi incroyable que cela puisse paraître elle avait été obligée d'engager un assistant en inventant des petits problèmes de santé pour s'en voir accordé un histoire d'avoir un minimum de compagnie. Triste monde.

La seule chose qu'on lui avait dit d’arrêter de faire depuis le début de sa carrière et qu'elle continuait encore en ce moment s'était de manger à pas d'heure, même en plein boulot. Comment résister, quand elle arrivait au Commissariat et qu'elle passait devant la Cafétéria ? Pourquoi dire non alors qu'elle pouvait s'acheter du chocolat au distributeur ? De plus si elle devait attendre bêtement à chaque fois qu'elle n'avait rien à faire elle passerait ses journées à attendre, surtout maintenant qu'elle avait un assistant pour s'occuper de sa paperasse, autant dire qu'elle faisait dix aller-retours à la Cafétéria par jour. L'une des raisons qui faisaient qu'elle avait eu envie d’arrêter cette manie quand elle avait commencé l'exercice de ses fonctions était qu'elle allait peut-être grossir, et pour un flic s'était mauvais de ne pas être en forme. Mais maintenant qu'elle était Inspecteur elle faisait ce qu'elle voulait surtout que personne ne passait dans son Département inintéressant, surtout pas ses supérieurs et puis de toute façon avec tous les exercices qu'elle faisait pour être au top elle ne prenait jamais un gramme. D'ailleurs c'était à se demander à quoi ça servait puisqu'elle devait approximativement procéder à une arrestation par semaine, ça ne demandait pas tous ses efforts.

Alors quand elle avait du arrêter cet Arabe la veille dans la nuit alors qu'il était à une soirée pleine d'alcool et de viennoiseries, elle l'avait à peine jeté dans sa cellule pour lui laisser une petite nuit voir une journée à réfléchir aux conséquences de ses actes, qu'elle se rendait déjà à la Boulangerie du coin pour aller s'acheter un gâteau, l'odeur de l'alcool l'ayant trop tenté. Et ce matin en arrivant, le même homme lui avait joué le tour de la photo de la petite copine pour l'attendrir et quand elle s'était approché par pitié pour jeter un coup d’œil et juger de la beauté de la fille en question, l'odeur ne l'avait pas quitté et elle n'avait pas attendu longtemps avant de ressortir s'acheter des beignets dans la rue. Elle en revenait et montait les marches de son Département quand lui revint enfin l'information qu'elle avait reçu la vieille. Son assistant le lui avait balancé vite-fait alors qu'elle ramenait l'Arabe déchainé alors elle n'avait pas fait vraiment très attention, mais ce qu'il l'a frappa c'est qu'elle allait accueillir un nouveau larbin. Aujourd'hui ou plus tard, c'était ce qu'elle avait décidé de vérifier en entrant et se dirigea donc directement vers le bureau de Loa pour aller relire la lettre de recommandation et checker les dates. C'était bien aujourd'hui et Uan essuya les miettes qu'elle avait fait tomber sur le papier en se redressant et en pensant que le dit pion ou plutôt pionne vu le nom, était de toute évidence en retard. Elle allait s'assoir sur la chaise pour déguster tranquillement son beignet quand elle entendit Reza s’exciter sur ses barreaux. Elle soupira en ce demandant quand il serait vidé de ses forces parce qu'il avait fait ça toute la nuit et apparemment même quand elle n'était pas là ce qui n'avait pas de sens, en son absence il ne pouvait se plaindre à personne. Elle se leva donc en sortant sa batte et se dirigea vers la cellule où elle l'avait laissé en faisant tourner l'objet dans sa main, ce qui en résultat des bruits de brassement d'air qu'elle espérait assez menaçants pour le calmer. Quand elle arriva devant sa cellule elle fit glisser la batte contre les barreaux dans un bruit assourdissant et se plaça en face de son prisonnier.

- Tu sortiras quand t'auras compris que ça sert à rien de faire du grabuge ce qui n'a pas l'air d’être encore rentré dans ta tête vide.

Uan se détourna en reportant son beignet à sa bouche quand son regard tomba sur une incruste. Une totale inconnue qu'elle aurait prise pour la nouvelle si elle n'avait pas eu les cheveux roses flashy et qu'elle n'était pas habillée en Sweet Lolita tout aussi rose. Elle essaya de ne pas s’attarder sur les vêtements pour ne pas la vexer et regarda plutôt son visage qui était franchement bizarre. Surement qu'après un temps d'adaptation tout le monde la trouve normale et elle devrait même s'avérer jolie mais sur le coup Uan s'en trouva quand même troublée. Enfin pour elle dont on disait qu'elle avait une tête d'oiseau elle n'avait surement pas de leçon à donner, alors elle décida de ne rien dire et replaça plutôt sa batte contre le bord du bureau qui se trouvait à proximité et donna un signe de tête à la fille pour la saluer. Puisqu'elle lui était complètement inconnue c'était forcément une étrangère et elle n'aurait rien à faire là si elle n'était pas la nouvelle, donc elle fut forcé d'admettre que ça devait être elle, mais alors ses supérieurs n'avaient finalement pas été aussi ouverts d'esprit de n'avoir rien dit sur ses gouts vestimentaires et son comportement à elle s'ils étaient capables d'en accepter une comme Er-Gong, si c'était bien elle. A coté de ça, son propre cas n'avait pas du être si terrible, car une flickette Lolita ne devait pas être fort impressionnante ni être prise très au sérieux. Mais dans ce Département ça n'avait aucun importance. Donc elle ignora l’excentricité de sa nouvelle collègue et lui tendis plutôt la main.

- Je m'appelle Huang Uan, je suis l'Inspecteur de ce Département. En quoi puis-je vous aider ? Est-ce que vous êtes Kalashnik Er-Gong ?
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