Rannveig Hannes

RANNVEIG, Hannes.

Fiche Identité

Nom :

Rannveig

Prénom :

Hannes

Surnom :

Jeliel

Âge et date de naissance :

1974-Octobre-04

Sexe :

Masculin

Statut :

Policier à la RPD, S.T.A.R.S.

Nationalité et origine du personnage :

Il a vécu au Japon, mais a des origines d'Europe du Nord.

Langues parlées :

Le Japonais et le Coréen.

Groupe sanguin :

B

Fiche Description

Histoire :

En 1991, Hannes voyait pour la dernière fois ses parents, il les quittait en leur disant au revoir sur leur lit d’Hôpital. On dit toujours qu'il vaut mieux mourir entouré, mais parfois il arrivait à leurs fils de se demander si ça n'aurait pas été mieux de leur dire au revoir en partant à l'école le matin et d'apprendre la nouvelle en rentrant. Tous ceux à qui ça arrive disent qu'ils auraient voulu leur dire un dernier mot, mais quand le moment est arrivé on n'est loin d'être aussi serein qu'on s'y attendait, on ne sait même pas quoi dire, et face au silence et aux larmes de leurs enfants, les parents se sentent-ils bien de partir ? Ils ont l'impression qu'on leur dit « Tu es en train de m'abandonner » Ça ressemble presque à la réaction face à un suicide. Hannes avait conscience qu'il ne faisait pas ce qu'il fallait, que c'étaient eux qui étaient en train de partir et qu'il fallait leur parler, et il avait sincèrement essayé, mais finalement tout s'était passé dans un silence presque mortuaire. Ça avait un peu était comme ça dans les derniers jours. La dernière activité qu'il avait eu avec eux, c'était le processus pour son émancipation. Ils ne voulait pas les voir lui et son petit frère Jeliel allaient dans un Institut spécialisé, tous connus pour ruiner l'enfance des jeunes, alors puisqu'il avait 17 ans, il avaient décidés ça entre eux, pour qu'il puisse prendre également soins de Jeliel qui était alors âgé de 16 ans. Ça ne posait pas du tout de problème pour Hannes d'être adulte aussi jeune, il avait toujours était très sociable et indépendant, il faisait tout tout seul, et pendant l'année entière que ses parents avaient passés à l’Hôpital à se remettre de leur accident de train, il avait fait leur travail à leur place. S'occuper d'eux et de Jeliel, il en avait prit l'habitude. Lorsqu'ils partirent il se rendit compte que ça faisait très vide. Il aurait peut-être aussi du remarqué que c’était parce que pendant cette année, il ne s'était occupé que de ses parents, et pas tellement de Jeliel comme il le pensait, sinon il aurait tout de suite remarqué ce que ses parents auraient vu s'ils n'étaient pas sur leur lit de mort.

Un an plus tard les jours étaient comme des répliques du lendemain du décès. Dès la mort de ses parents Hannes avait trouvé Jeliel bizarre, où plutôt il s'en était peu à peu rendu compte. Il s'est renfermé sur lui-même, d'avantage encore que ce qu'il avait toujours eu l'habitude d'être, et au vu de sa situation familiale, Hannes avait trouvé ça normal. Évidemment ça l'énervait parfois de le voir faire autant de cinéma alors qu'il endurait lui-même le même calvaire sans gémir une seule fois. Jeliel avait au moins l'avantage d'avoir gardé son statut d'enfant dans la famille, alors que Hannes devait faire tout le travail. Il assumait sa vie de lycéen aussi bien que celle de père pour Jeliel et de mère dans la maison. Parce que son petit frère n'avait pas grandit assez vite par rapport à la mort rapide de ses parents et que malgré leur mort, il avait encore besoin qu'on s'occupe de lui. Donc Hannes se chargeait de lui, le réveiller le matin, lui faire son petit-déjeuner, l'emmener au lycée avec lui, s'occuper de la maison en rentrant. En deux ans il avait perdu la moitié de ses amis, tout le monde disait qu'il n'était plus aussi fun qu'avant, il refusait les invitations, n'avait plus le temps pour rien. Ils ne voulait de lui comme compagnon que pour sa disponibilité, et ceux qui restaient étaient ses seuls vrais amis. Il pouvait au moins voir ce point positif dans toute l'histoire, il n'avait auprès de lui que les personnes qui s’inquiétaient vraiment de son état.

C'est vers la date d'anniversaire de la mort de leurs parents que Hannes commença à remarquer des vrais changements qu'il ne parvenait pas à comprendre. Ça devenait difficile de sortir Jeliel du lit, il voulait toujours dormir, il ne voulait même plus aller à l'école, il demandait à faire semblant d'être malade pour rester à la maison avec son grand-frère. Ils partaient tous les jours en retard à cause de la fainéantise de Jeliel, et les journées mornes devenaient compliquées, énervantes, en plus d'être tristement toutes les mêmes. Un mercredi midi Jeliel fit sa première crise. Comme beaucoup de lycéens à cette époque il n'avait cours que l'après-midi, tout comme Hannes. Mais au lieu de faire la grasse matinée comme tous ses camarades de classe, Hannes avait préféré s'occuper de la maison tout de suite pour pouvoir se reposer le soir, le mercredi il devait aller à la salle de boxe et rien ne le ferait rater ses cours qui étaient devenus un soutient pour lui depuis ses deux dernières années. Seulement au moment de partir, Jeliel était introuvable dans la maison. Hannes l'avait appelé déjà un bon nombre de fois, mais il refusait de se montrer, et ce ne fut qu'à l'instant où Hannes eu l'idée idiote de regarder dans le placard qu'il le trouva, cacher derrière les vêtements suspendus par les contres. Il se sentit un peu choqué en le trouvant là, car même s'il était bizarre Jeliel n'en était jamais arrivé à ce degré d'immaturité. Il ne demanda cependant pas la raison de ce geste, ce qu'il aurait sans doute du faire, mais il se contenta simplement de le tirer hors du placard, en ignorant les protestations qui étaient devenus des cris dans la bouche de son petit-frère. Il ne le lâcha que lorsque ce dernier lui griffa le bras. Lorsqu'il se retourna son frère affichait un air choqué et coupable, mais quand Hannes retendit le bras pour l'emmener vers la porte d'entré, il repartit dans le placard et ferma la porte derrière lui. Hannes avait beau tirer, il l'a tenait fermement close et son irritation gagnait un degré à chaque seconde de plus passé à essayer d'ouvrir la fichue porte.

- Pourquoi tu m'as frappé ? Qu'est-ce qui t'arrive, tu deviens malade ?! J'ai pas de temps à perdre à jouer ton cinéma, j'ai un entrainement tout à l'heure je vis pas que pour toi !

Hannes sentait venir des mots plus dures, mais au lieu de parler et de laisser ses paroles être étouffées par les hurlements de Jeliel il prit le premier objet qu'il trouva et le balança contre la poignée de la porte. Celle-ci s'ouvrit sur un Jeliel choqué qui décida de ne plus répliquer lorsque Hannes l'attrapa pour la troisième fois et l'emmena à l'entré pour lui donner ses affaires et l'emmener à l'école.

« Personne ne me comprend... Mais au moins il reste à mes côtés. »

Le trajet et même le reste de la journée se déroula dans une atmosphère tendue. Hannes ne savait pas très bien comment le prenait Jeliel mais de son côté il se sentait vraiment sur les nerfs. Voir son petit frère en faire autant... Il ne respectait pas les efforts qu'il faisait ? Il commençait à trop penser et surtout à propos du mauvais caractère de son petit-frère et il sentait que ça l'énervait toujours plus. Alors le soir arrivé, il se sentit vraiment frustré de découvrir Jeliel devant ses magasines. Ça faisait pourtant longtemps qu'il le voyait s'amuser à découper les images de bijoux dans les magasines, c'était devenu pour lui un divertissement très calme. Hannes n'en voyait pas le moindre intérêt, surtout qu'il jetait toutes ses images juste après. Cette fois-ci il n'acceptait plus de le voir se livrer à des occupations aussi inutiles que bizarres juste sous ses yeux alors qu'il avait l'avantage de pouvoir sortir et profiter de ses années de lycée alors que lui-même en était dépourvu à cause de lui. D'une certaine manière, plutôt que de le rendre jaloux, ça l'aurait rassuré de voir son petit-frère faire tout ce que lui ne pouvait entreprendre. Il l'avait imaginé plusieurs fois revenir le soir et lui raconter tout ce qu'il avait découvert et fait d'amusant, d'une certaine manière il aurait pu les vivre aussi. Mais les seuls moments où Jeliel sortait c'était pour aller en cours, rentré, il allait dans son lit où s'assoir devant la table de salon pour découper ses pages de magasines. Lorsqu'il arriva à la hauteur de l'endroit où se trouvé Jeliel, Hannes ne réfléchit pas une fois de plus et prit les magasines des mains de Jeliel et se dirigea vers la porte de la maison. Jeliel l'avait suivit pour voir ce qu'il faisait, mais il s'arrêta lorsque Hannes ouvrit la porte et balança les magasines dehors. Il n'avait pas fait attention qu'il pleuvait, et que les pages devaient être devenues toutes noires maintenant.

- Si tu veux tant tes bijoux, tu n'as qu'à sortir !

Hannes n’eut pas le temps de voir l'expression du visage de son frère car il avait baissé la tête et était directement partir vers sa chambre en murmurant quelque-chose d'une voix cassée. Sur le moment, Hannes se sentit soulagé, voir Jeliel souffrir de quelque-chose pour une fois faisait comme un meilleur équilibre sur la balance. Mais au bout de quelques minutes qu'il avait passées à nettoyer le salon, il se rendit compte que c'était légitimement sa place, et que celle de Jeliel était là où il l'avait était depuis ses deux ans. Son petit frère en faisait bien un peu trop parfois, mais même s'il ne souffrait pas du manque de parent dans les formes grâce à la présence de Hannes, il avait souffert de voir mourir ses parents aussi. Alors après un instant de plus à prendre son courage en main, Hannes alla s'appuyer contre la porte de la chambre de son petit-frère et s'excusa, mais aucun son ne lui répondit, et sous la porte de la lumière était encore visible. Hannes ne su simplement pas quoi en penser et repartit de son côté sans trop y penser. De toute façon Jeliel était trop compliqué, il ne comprenait pas du tout son comportement.

Statistiques et équipements.

Caractéristiques

Physique :

Dextérité :

Esprit :

Perception :

Équipement

Liste des armes :

Fusil-à-pompe Hydra.

Autres objets :

Fusil de détresse.

J'avais beaucoup avancé ma biographie, mais Firefox a encore perdu mon poste, c'est trop bidon et ça fait trop chié donc fuck, je ferai les deux-tiers qui restent plus tard.

Arrh, merde, t'as déjà été long à faire ça... Mais je comprends pourquoi ça t'a mis du temps, elle est bien ta biographie t'écris très bien =)

C'est clair, moi j'ai l'air de quoi maintenant ? X/ Ma bio je décrivais sans y mettre les détails, juste les grandes lignes et toi c'est carrément une narration trop bien écrite ( j'aurai du m'en douter, rien que quand on fait des fics en co-op tu fais toujours des beaux paragraphes e e )
En tout cas c'est bien comment tu décris aussi les sentiments ( des sentiments très humains d'ailleurs ), pour le premier paragraphe et celui où Jeliel commence à changer j'ai vraiment eu pitié

Oh merci... Mais ça change rien j'écrirai pas la suite ! Je suis très énervé en ce moment même. En plus je me souviens que quand j'ai écris les dialogues j'étais content parce que j'avais trouvé des trucs en plus à dire, mais du coup comme c'était en plus je m'en rappelle plus du tout... Putain je suis frustré.

Riko a écrit:: En tout cas c'est bien comment tu décris aussi les sentiments ( des sentiments très humains d'ailleurs ), pour le premier paragraphe et celui où Jeliel commence à changer j'ai vraiment eu pitié.

C'est clair que t'as bien choisis, que le grand-frère soit consterné que le petit sorte pas alors qu'il peut et que lui ( Hannes ) peut pas c'est pas mal, j'ai adoré aussi quand il dit que quand le gosse souffre ça rééquilibre la balance ^^ D'ailleurs au début je me suis un peu perdue parce que toi tu t'appelle Jeliel et que dans ton histoire tu t'appelle Hannes et le petit frère Jeliel.

Ahn, tu veux pas écrire la suite ? Dommage, là c'est bien on a envie de savoir ce qui se passe après...

Mais c'était venu tout seul, je réfléchissais pas en écrivant, forcément je m'en rappelle plus... Et pour l'embrouille avec Jeliel je m'excuse, vous étiez sensés comprendre en lisant la suite, mais puisque y'en a pas...

Je connais ce sentiment... V V C'est sûr qu'on a plus envie de tout refaire quand tu te dis que t'as perdue ton temps inutilement. Mais bon, vois le bon côté des choses : tu vas faire mieux que la première fois !

Moi j'ai hâte de voir quand tu mettras la liste de tes victimes avec les photos et tout =)
D'ailleurs je viens de penser que je peux pas être ton partenaire, puisque tu dois me tuer... ( Ca va être fun de se courir après )

Bennn... On dit pas qu'on est partenaires, mais en RP on sera ensemble donc on est quand même partenaire...

Dis, pour me tuer tu me rentrera direct dedans ou alors tu va choisir l'option de rester avec moi et me poignarder dans le dos ? =)

Pour bien faire durer il faut choisir la deuxième option =) Parce que sinon faudra tout le temps se courir après se serait difficile.

J'ai hâte d'en arriver à ta trahison, mais je te préviens que je vais pas me laisser faire alors qui c'est, après ce sera peut-être moi le tueur ^v^

Eu ce serait vraiment injuste, moi je veux juste te punir pour tes péchés ^^

Oui mais par rapport aux autres j'étais relativement gentil avec ton petit-frère..! Tiens d'ailleurs je lui faisais rien de mal, moi je faisais les vidéos, je filmais seulement... =)

Tu parles que tu faisais rien, tu étais le plus lâche du groupe e.e T'as une grande gueule, mais t'as pas de couilles.

Mais au moins je le tapais pas... ^^ Je ne faisais que donner aux gens ce qu'ils voulaient !

Ouais ben j'appelle ça de la prostitution.

Nnh !.. >.< Quand le moment viendra, tu verras que tu n'auras plus envie de me tuer, parce que tu auras compris que je n'ai rien fais de mal ^^

Hm ça va les chevilles ? <.< T'as bien confiance, qu'est-ce que tu sais que j'ignore ?

Les soldats se mettent à genoux quand ils tirent, c'est pour demander pardon du meurtre

Honto ? Je savais pas, merci pour la belle phrase. Ça me fait penser au film que je devais montrer à Riko avec un boxeur Thaïlandais : Quand il bat quelqu'un sur le ring il se fout de sa gueule et lui fait un bisou du coup le public adore, alors qu'en fait en narration il dit « C'est pour demander pardon que j'embrasse »

Voilà, comme j'aime étaler des lives y compris la mienne, j'ai fait mon petit roman de la journée.

Ahn, trop mignon la façon de demander pardon ^v^ C'est vrai que ça doit être bien des films avec des boxeurs, mais le seul que j'ai vu est un film Hong-Kongais ( mais il était très bien ! Le boxeur principal était un ex-tolard qui avait tué ses parents quand il était ado, et il se battait contre des Thaïlandais justement qui eux se battaient pour nourrir leur famille ou des trucs comme ça, du coup c'est lui qui avait le mauvais rôle, c'était original... Et en plus l'acteur c'était Shawn Yue, yey~~ )

On attend toujours que tu finisse ta biographie, soit dit en passant è é Elle est bien, finis la~~